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Le Sénégal : Un pays majeur sur l’échiquier africain

Le Sénégal, qui entretient des relations avec de nombreux pays du monde entier (Chine, Israël, Iran, Arabie saoudite, Turquie…) et possède des liens étroits avec la France et les États-Unis, occupe une place à part en Afrique de par son aura et ses interactions avec les autres nations du continent. Aujourd’hui, Macky Sall, à la tête de l’UA, s’attache à appliquer les préceptes définis dans l’Agenda 2063 de l’organisation panafricaine, avec lesquels il est totalement en phase.

Par Marie Forest

Lors de son 50e anniversaire, en 2013, l’UA s’est dotée d’une vision stratégique à l’horizon 2063, intitulée « L’Afrique que nous voulons ». Cet Agenda s’articule autour des préceptes qui résument l’ambition du continent africain pour son développement. Le Sénégal n’avait pas attendu cette date pour se fixer une ligne de conduite et faire siennes les aspirations déclinées dans ce document. Concernant nombre de ces thématiques, il apparaît comme un fer de lance dans les combats à mener, à l’heure où Macky Sall prend la présidence de l’UA (cf. encadré « Macky Sall à la tête de l’UA »). En termes de stabilité politique, de dialogue interreligieux, d’éducation, de diplomatie ou d’intégration continentale, le Pays de la Teranga peut servir de modèle.

Une stabilité politique notableNE STABILITÉ POLITIQUE NOTABLE

Le Sénégal bénéficie d’une image de stabilité politique rare sur le continent. De fait, les tensions qui peuvent agiter le pays à cause des antagonismes idéologiques ne franchissent pas le point de non-retour ; les résultats des élections sont respectés, et les médias parviennent à rester libres et indépendants grâce au soutien de la société civile et d’un gouvernement démocratique. 

Cette stabilité est une constante depuis la déclaration d’indépendance, en 1960, et la mise en place d’une constitution parlementaire par le premier Président sénégalais, Léopold Sédar Senghor. En s’appuyant sur l’aide de la France et sur des alliances passées avec les califes des puissantes confréries musulmanes, il a établi un cadre politique solide et instauré un socialisme modéré. Après que plusieurs tentatives de coups d’État aient été déjouées, un accord fut trouvé entre le parti présidentiel (l’Union progressiste sénégalaise [UPS]) et le principal parti de l’opposition (le Parti du regroupement africain [PRA]), qui fusionnèrent en 1966 pour donner naissance à un « parti unifié ». Dix ans plus tard, le pays s’ouvrit à un multipartisme limité à trois courants : socialiste (Parti socialiste [PS], ex-UPS), communiste (Parti africain de l’indépendance [PAI]) et libéral (Parti démocratique sénégalais [PDS], du futur président Abdoulaye Wade). Par la suite, un nouveau parti, conservateur, fut autorisé.

De 1981 à 2000, Abdou Diouf assura la continuité à la tête de l’État. Celui qui était depuis une décennie le Premier ministre de Léopold Sédar Senghor poursuivit la démocratisation engagée par son prédécesseur et garantit le multipartisme ainsi que la liberté de la presse. En 2000, l’élection d’Abdoulaye Wade à la présidence marqua l’avènement de l’alternance démocratique. Si sa seconde mandature suscita de vives oppositions du fait des changements constitutionnels qu’il voulut apporter, sans concertation avec les chambres parlementaires, il s’inclina sans tergiverser lors de l’élection de 2012 qui donna la victoire à Macky Sall. Cet ancien proche collaborateur d’Abdoulaye Wade, qui occupa à plusieurs reprises des postes politiques majeurs, s’en était éloigné, créant son propre parti, l’Alliance pour la République (APR). L’alternance, tant des hommes que des partis, a ainsi toujours été réalisée avec succès depuis plus d’un demi-siècle.

Macky Sall à la tête de l’’UA
Depuis février 2022, le Président sénégalais occupe la présidence de l’UA, pour une durée d’un an. Il a décidé de placer ce mandat sous les auspices de la diplomatie, afin que la voix du continent africain soit davantage prise en compte au sein des instances internationales. Il a ainsi demandé à ce que soient octroyés deux sièges permanents à des pays africains au Conseil de sécurité de l’ONU, estimant que les questions africaines représentaient environ 70 % des affaires du Conseil. De plus, il souhaite qu’un amendement des règles soit apporté afin qu’un seul pays ne puisse plus opposer son veto lors des votes. Macky Sall a également plaidé pour que l’UA rejoigne le G20, et exigé une réforme de l’OCDE pour allonger la durée des prêts aux pays africains. Son volontarisme s’est encore s’affiché lors du dernier sommet du G7, en Allemagne, où il a été invité afin de faire entendre la voix de l’Afrique, et son leadership sera sans aucun doute mis en avant lors du prochain sommet Afrique-USA organisé par la Maison-Blanche en décembre prochain, pour sensibiliser le Président Biden aux attentes et préoccupations africaines. 

Le rôle des confréries religieuses

Au Sénégal, les confréries religieuses ont une place importante chez les musulmans, qui représentent 95 % de la population du pays. Leur influence s’étend au-delà de la sphère religieuse, sur la vie civile et politique. Deux courants principaux se détachent : la Tidjaniya (confrérie tidjane) et la Mouridiya (confrérie mouride), cette dernière étant une voie spirituelle ouverte par un Sénégalais, cheikh Ahmadou Bamba. Deux autres confréries regroupent un nombre d’adeptes conséquent : la Layeniyya (confrérie layène) et la Qadiriya (confrérie qadiriya). Toutes œuvrent à dénoncer et prévenir l’extrémisme violent. Afin de fédérer le plus grand nombre sur ce sujet, les confréries musulmanes ont décidé de parler d’une seule voix au travers d’une plateforme commune, créée en 2015 : le Cadre unitaire de l’islam au Sénégal (Cudis). 

Les confréries ont à maintes reprises pesé de façon positive sur la vie citoyenne pour parvenir à la résolution de conflits. Par exemple, l’antagonisme qui a perduré de 2004 à 2007 entre Abdoulaye Wade et son Premier ministre Idrissa Seck a pu trouver une issue à Touba, ville sainte de la très influente Mouridiya. En 2008, Abdoulaye Wade, en froid avec l’homme qui allait lui succéder, Macky Sall, a pu bénéficier des conseils et recommandations de Serigne Bara Mbacké, calife général des mourides, pour dénouer les tensions existantes. Lors des élections municipales de janvier 2022, où la situation était tendue, les confréries ont aidé à aplanir les dissensions entre le pouvoir en place et l’opposition afin de prévenir les violences et pacifier le climat électoral. Enfin, tout récemment, en juillet 2022, alors que la précampagne des élections législatives était marquée par des manifestations, les dignitaires religieux ont décidé d’intervenir. Le Cudis a réitéré « sa disponibilité à accompagner toute volonté de dialogue sincère et de recherche de solutions pour le bénéfice supérieur de la communauté nationale ».

Le Cudis a permis de juguler la montée des tensions, notamment à partir de novembre 2021 quand il a demandé aux différents partis politiques d’adopter une charte de non-violence. Jusqu’alors, les négociations en vue de trouver des compromis se faisaient dans un cadre informel, chacun — confréries, ONG, mouvements de la société civile — essayant de faire valoir ses arguments. Mais ces actions étaient rarement couronnées de succès. La charte du Cudis a pacifié les rapports de forces qui avaient lieu à chaque élection. Cheikh Ahmed Tidiane Sy, le président du Cudis, regrettait que les acteurs politiques soient « dans une épreuve de force à distance plutôt que dans une logique de conciliation pour des élections apaisées ». Or, « de par leur traditionnelle attitude à réguler l’espace public, les religieux peuvent être les garants d’un nouvel engagement moral », estime-t-il. Ceci sans pour autant empiéter sur les prérogatives des personnes élues : « De plus en plus, les califes généraux observent une posture d’équité », constate d’ailleurs Cheikh Ahmed Tidiane Sy. 

Miser sur l’éducation

La politique économique sénégalaise est de faire du capital humain un ressort essentiel de la trajectoire d’émergence du pays à l’horizon 2035. L’éducation a ainsi été un objectif de première importance pour les gouvernements successifs, et celui actuellement en place ne déroge pas à cette règle. Pour parvenir à satisfaire les besoins, toujours croissants du fait de la poussée démographique, une ouverture a été apportée via le recours au secteur privé, tant au niveau des écoles que des universités, à partir de 1991. L’initiative privée est appuyée par des ONG, des organismes de développement et des associations culturelles. 

Le secteur de l’éducation non formelle comprend plusieurs volets : l’alphabétisation, qui prend en charge les personnes de plus de 15 ans ; les écoles communautaires de base, pour les enfants âgés de 9 à 14 ans n’ayant pas connu ou ayant quitté prématurément le parcours scolaire ; et les écoles dites « du 3e type », c’est-à-dire « les autres formes d’écoles hors normes, dont celles de la rue, organisées par des organismes non formels et non standardisés, et que le système doit s’efforcer d’accompagner ». La libéralisation du secteur a également permis un fort développement du nombre d’écoles de formation supérieure et d’universités. Venant en appoint de ce double système, la formation en ligne est la forme d’éducation qui connaît la croissance la plus rapide. 

Le Pays de la Teranga accueille désormais, en plus des étudiants nationaux, des jeunes issus d’autres pays africains, ce qui montre une reconnaissance continentale de l’efficience du secteur éducatif sénégalais. Cette ouverture a été rendue possible par un renforcement significatif du réseau universitaire, notamment entre 2013 et 2017. Le système éducatif, s’il reste bien évidemment perfectible, permet quand même au Sénégal d’être classé en 2020 par le Global Innovation Index en 7e position sur la liste des pays d’Afrique subsaharienne, avec de bons résultats notamment dans le domaine des TIC.

En littérature également, le Pays de la Teranga peut s’enorgueillir de quelques faits d’armes. En novembre 2021, le jeune romancier Mohamed Mbougar Sarr a reçu le prix Goncourt pour son ouvrage La plus secrète mémoire des hommes. Pour Macky Sall, « c’est une belle consécration qui illustre la tradition d’excellence des hommes et femmes de lettres sénégalais ». Autre succès : le prestigieux Prix international de littérature Neustadt 2022 — une distinction surnommée le « Nobel américain » — a été accordé à l’écrivain et intellectuel sénégalais Boubacar Boris Diop. Le pays n’a qu’à continuer sur cette lancée !

Une diplomatie reconnue

Mais c’est peut-être sur le plan diplomatique que le Sénégal se distingue particulièrement. Depuis son indépendance, il fait preuve en la matière d’un savoir-faire reconnu, qui porte ses fruits sur la scène mondiale. C’est aussi bien la qualité intrinsèque de ses ressources humaines que le juste équilibre dans ses prises de position qui l’ont amené à être écouté lors des tentatives faites pour régler certains conflits nationaux ou transnationaux.

Un exemple parmi d’autres : le journaliste et P-DG du groupe de presse E-media Invest, Mamoudou Ibra Kane, explique dans Le Sénégal et Mandela : le grand secret (ouvrage qu’il a dédicacé le 21 mai 2021 au Musée des civilisations noires de Dakar) quel fut l’apport de la diplomatie sénégalaise dans la libération en 1990 de celui qui deviendra le premier président noir de son pays. À cette occasion, Me Aïssata Tall Sall, la représentante du Chef de l’État Macky Sall avait déclaré : « Le Sénégal est un pays de grande diplomatie. Une diplomatie de souveraineté, d’amitié, une diplomatie qui revendique son indépendance et son originalité pour porter tous les combats que beaucoup de pays n’osent pas porter de nos jours. » Tout récemment, Dakar s’est également illustré en intervenant dans le conflit russo-ukrainien pour tenter de débloquer les exportations de céréales et d’engrais, vitales pour l’Afrique (cf. encadré « Guerre Russie-Ukraine »). Mais le plus grand diplomate du Sénégal est incontestablement Macky Sall, qui a réussi en toute discrétion à mener à bien les négociations avec la rébellion casamançaise et à signer ces dernières semaines un accord de paix historique afin de ramener la paix et la stabilité dans cette région du Sénégal après plus de 30 ans de tension. 

Le Pays de la Teranga mène une action diplomatique active auprès des instances internationales. Outre l’organisation de nombreux sommets (Organisation de la coopération islamique en 2008, Francophonie en 2014, Conférence de financement du Partenariat mondial pour l’éducation en 2018) et autres évènements d’envergure, il participe ou a participé au Conseil de sécurité de l’ONU, au Conseil exécutif de l’Unesco, à l’Assemblée des États parties au Statut de Rome de la Cour pénale internationale et au Conseil des droits de l’homme des Nations unies. Il contribue aux opérations de maintien de la paix des Nations unies (RDC, Mali, Centrafrique, Darfour, Haïti, Soudan du Sud) et joue un rôle majeur dans la résolution de crises régionales.

La liberté d’action et le courage politique qui prévalent au Sénégal se traduisent parfois par un non-alignement avec certaines nations, le pays n’hésitant pas à prendre des décisions susceptibles de leur déplaire s’il estime que là est son devoir. Il fait parfois office de terre d’asile. Ainsi, en octroyant en novembre 2019 un passeport diplomatique sénégalais au philosophe et historien camerounais Achille Mbembe, le Pays de la Teranga tient son rang de pays-refuge pour les intellectuels du continent. Macky Sall assume pleinement l’héritage moral de ses prédécesseurs, qui ont fait de Dakar un point de chute pour l’intelligentsia guinéenne fuyant les exactions sous la mandature de Sékou Touré, pour des Haïtiens persécutés par « Bébé Doc  » Duvalier, ou pour les militants de la South West African People’s Organisation (Swapo) luttant pour l’indépendance de la Namibie.

Guerre Russie-Ukraine
L’action diplomatique du Sénégal
Macky Sall souhaite placer l’Afrique au centre de l’échiquier mondial. Une ambition qui connaît déjà des réalisations concrètes, comme en témoigne son intervention dans le conflit actuel qui sévit sur le sol européen, entre la Russie et l’Ukraine. Le 3 juin, au 100e jour de l’invasion russe, le Président sénégalais s’est entretenu avec son homologue Vladimir Poutine à Sotchi (il l’avait également appelé le 9 mars, et contacté le Chef de l’État ukrainien Volodymyr Zelensky le 11 avril). Une mission diplomatique compliquée par le fait que les pays africains sont eux-mêmes divisés sur la question de ce conflit, mais rendue nécessaire par le besoin vital qu’a le continent des céréales et engrais qui restent bloqués dans les ports ukrainiens. Selon la FAO, une douzaine de pays africains, dont le Sénégal, dépendent de la Russie et de l’Ukraine pour au moins la moitié de leurs importations de blé. On assiste donc aujourd’hui à un retournement de situation inédit :« Ce sont normalement les Européens qui s’impliquent dans les guerres africaines. Maintenant, si les Africains font de la médiation, c’est une excellente chose », se félicite Macky Sall. Il est par ailleurs attendu prochainement à Kiev, avec son homologue de Guinée-Bissau Umaro Sissoco Embalo (par ailleurs actuel président en exercice de la Cedeao), afin de poursuivre les échanges avec le Président Ukrainien.  

Prôner le panafricanisme

L’une des grandes aspirations de l’UA, énoncée dans l’Agenda 2063, est de parvenir à « un continent intégré, politiquement uni, basé sur les idéaux du panafricanisme et sur la vision de la renaissance de l’Afrique ». À l’origine, le panafricanisme, qui a vu le jour au XVIIIe siècle, est un mouvement politique et idéologique afro-américain. Au début du XXe siècle, il se focalise contre l’esclavage et la discrimination raciale, avant de dénoncer le colonialisme et la domination impérialiste. À partir de 1960 et de l’accession de nombreux pays africains à leur indépendance, le concept connaît une nouvelle acception. Il s’agit d’encourager la solidarité entre les peuples africains, et d’accéder à l’unification et à l’indépendance économique du continent, en s’appuyant sur les ressources régionales. L’une des grandes figures du panafricanisme politique est le sénégalais Cheikh Anta Diop, intellectuel engagé qui a œuvré à la valorisation de l’Afrique au travers de la recherche de constitution d’un État fédéral africain.

Depuis, le Sénégal reste très investi dans la vision d’une union solidaire entre les pays du continent. Le Président sénégalais a déclaré en 2020 que les nouvelles menaces transfrontalières, comme la Covid-19 qui a mis en exergue « la vulnérabilité de l’État-nation », rendaient « encore plus pertinent l’attachement [du Sénégal] au panafricanisme ». En effet, l’inéluctable mondialisation des échanges, tant commerciaux que culturels, nécessite une refonte des paradigmes et un engagement clair en faveur d’une mutualisation des ressources.

Le mouvement Jeunesse interconnectée et fusionnée d’Afrique (Jif’Afrik), qui mène des programmes de formation au Sénégal et dans la sous-région, participe de cet élan. Son but est d’impulser un développement local endogène afin d’œuvrer à l’éducation des masses pour une transformation sociale durable. Son président, Souleymane Jules Diallo, axe sa démarche sur l’approche communautaire, avec la création d’outils adaptés et des formations en leadership, entrepreneuriat, développement local, gouvernance et citoyenneté.

Jif’Afrik a initié en 2015 le Festival international panafricain de Nguékokh (Festi’Nguékokh), dont la dernière édition s’est tenue en octobre 2021 sur le thème « Les défis de l’unité africaine ». Il s’agit d’offrir un cadre d’éducation civique et populaire à destination des jeunes de l’ensemble du territoire national et de la diaspora, afin de les mobiliser autour de questions sociales, politiques, environnementales, économiques et culturelles, en vue de construire de manière responsable l’avenir du Sénégal — et de l’Afrique en général. Le Festival s’articule autour de panels, débats et ateliers destinés à trouver des réponses endogènes aux problèmatiques auxquelles doit faire face le continent. Il regroupe des acteurs venus de tous horizons qui réfléchissent sur les enjeux mondiaux.

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