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Les grandes dates de FO – Les Échos

Les grandes dates de FO  Les Échos

Insécurité au Sahel : le Mali en première ligne

L’instabilité au Mali résulte directement de l’insécurité causée par les groupes djihadistes, qui sévissent sur une grande partie de la bande sahélo-saharienne. Aux côtés de ses partenaires régionaux et internationaux, le pays cherche à annihiler l’hydre terroriste.

Par Clément Airault

Dans la nuit du 18 au 19 août 2020, le Président Ibrahim Boubacar Keïta annonçait sa démission, celle de son gouvernement et la dissolution du Parlement, quelques heures après avoir été arrêté par des militaires. Cette situation sonnait comme un écho au 22 mars 2012, lors du renversement par des militaires du Président Amadou Toumani Touré, accusé d’incompétence face aux rebelles. Depuis près de dix ans, le Mali traverse une période d’instabilité et de conflits, qui trouve sa source dans le mouvement des printemps arabes et dont il peine à s’extraire.

Un combat sans fin

Le 17 janvier 2012, la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et d’autres combattants rentrés de Libye lancent une offensive dans le nord du Mali. Ils prennent en moins de trois mois le contrôle de trois régions, Kidal, Gao et Tombouctou, avant d’être rapidement écartés par leurs alliés islamistes associés à Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), en particulier le groupe Ansar Dine. Au nom de la charia, les djihadistes amputent et lapident. Ils interdisent le football, la musique, l’alcool, et détruisent des mausolées de saints musulmans à Tombouctou (reconstruits à l’identique dès 2014 grâce à l’Unesco).

Le 11 janvier 2013 l’opération Serval est lancée par la France. Trois jours plus tard, les djihadistes évacuent les grandes villes du nord et, à la fin du mois, les soldats français et maliens reprennent Gao, entrent sans combattre dans Tombouctou avant de prendre le contrôle de l’aéroport de Kidal. Mais rien n’est acquis face à des groupes terroristes déterminés et insaisissables. En mai 2014, l’armée malienne subit une cuisante défaite à Kidal, face à des groupes rebelles touareg et arabes qui récupèrent le contrôle de la ville. En mai-juin 2015, un accord de paix est signé entre le gouvernement de Bamako et les rebelles séparatistes du nord. Mais celui-ci ne règle rien. Les tensions intercommunautaires restent fortes et les violences et attaques des groupes djihadistes ne cessent de croître, notamment avec la création du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), dirigé par l’ex-chef touareg Iyad Ag Ghali. Cette coalition, liée à AQMI, est notamment responsable de l’enlèvement de la française Sophie Pétronin en 2016, et a revendiqué la plupart des attentats dans le nord du Mali depuis 2017.

Depuis la désignation de l’État islamique au Grand Sahara (EIGS) comme ennemi numéro 1 par les Occidentaux (cf. carte), les attaques revendiquées par le groupe d’Adnan Abou Walid al-Sahraoui se sont réduites. Celles du GSIM, en revanche, se sont accrues. « C’est à ce jour l’ennemi le plus dangereux pour la force Barkhane, pour les forces internationales et pour le Mali », déclarait en novembre 2020 le général Marc Conruyt, commandant de la force Barkhane, devant l’Assemblée nationale française. Le terrorisme islamiste au Sahel est une hydre. Coupez une tête, deux autres repoussent aussitôt.

Zone des trois frontières : le fief de l’EIGS
Selon le ministère des Affaires étrangères français, dans la bande sahélo-saharienne, « aucune zone ne peut plus désormais être considérée comme totalement sûre ». Mais le territoire de tous les dangers est sans nul doute celui dit « des trois frontières » (Mali, Burkina Faso, Niger), aussi appelé Liptako-Gourma, et devenu le fief de l’État islamique au Grand Sahara (EIGS), responsable de la majeure partie des attaques au Mali visant les civils et les militaires. Cette organisation était dirigée par Adnan Abou Walid al-Sahraoui, tué mi-septembre 2021 dans une frappe des forces françaises. Ce dissident d’Al-Qaïda était l’ennemi principal du G5S et de ses alliés.

L’union fait la force

La sécurité reste fragile. Elle est maintenue, partiellement, grâce au soutien de partenaires internationaux. Les Casques bleus de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) sont dans le pays depuis juillet 2014. Plus de 60 nationalités composent cette force militaire de 13 289 hommes, dont 12 877 étaient basés au Mali en juin 2020, sur 12 sites disséminés sur le territoire ; 135 d’entre eux ont perdu la vie ces six dernières années. La Minusma comprend également plusieurs milliers de policiers qui aident au rétablissement de l’autorité de l’État dans tout le pays. Comme le précisait le Secrétaire général des Nations unies dans son rapport du 26 mars, la Minusma continue d’apporter un soutien logistique à la Force conjointe du G5 Sahel (G5S). Par exemple, entre janvier et mars 2021, elle lui a fourni 704 300 litres de carburant et 10 920 litres de lubrifiant.

La France, alliée historique du gouvernement central malien, est intervenue dès 2013 pour éviter que le Mali ne devienne un nouvel État islamiste au Sahel. L’opération Serval fut un succès et trois semaines après le début de l’intervention française, le Président François Hollande était accueilli en libérateur. Mais l’état de grâce s’est dissipé, et la perception qu’ont les Maliens de la France n’est plus la même aujourd’hui. Le 4 décembre 2020, peu après la mort de 13 soldats français au Mali lors d’une collision entre deux hélicoptères, Emmanuel Macron avait demandé aux chefs d’État sahéliens de clarifier leur position sur la présence militaire française, une « convocation » peu appréciée par les dirigeants concernés. Le sentiment antifrançais s’est accentué fin mars avec la publication d’un rapport de l’ONU concluant qu’une frappe aérienne conduite par l’armée française au Mali en janvier 2021 avait tué 19 civils réunis pour un mariage. La France a contesté les conclusions de ce rapport, basé sur des témoignages qu’elle juge falsifiés.

Les Maliens avaient accepté la présence de l’armée française afin qu’elle résolve les problèmes, mais huit ans plus tard, alors que l’instabilité et les violences persistent, certains la voient comme une armée d’occupation.

Forces armées maliennes (FAMa)
Une présence indispensable
Le 6 avril, à Konna (centre), les Forces armées maliennes (FAMa) ripostaient à une attaque, tuant 12 rebelles. Au quotidien, l’armée malienne est indispensable pour endiguer la progression des terroristes.
Les FAMa comptent environ 17 000 hommes qui sont en première ligne face aux djihadistes, dont ils sont régulièrement la cible. À titre d’exemple, le 15 mars dernier, une attaque sur le poste de sécurité de Tessit, dans la région de Gao, a causé la mort de 33 soldats maliens.
Ce sont des chefs militaires, impuissants à contrer les terroristes et exaspérés par les décisions gouvernementales, qui ont choisi de renverser le gouvernement le 18 août, au lendemain de la réunion du Conseil supérieur de la fonction militaire. Cette dernière visait à rédiger des amendements sur des projets de texte concernant les conditions de vie et de travail des militaires. La colère grondait depuis un moment. Le moral des troupes était affaibli et les désertions monnaie courante. Le manque d’équipement et de reconnaissance était difficile à accepter par des soldats risquant quotidiennement leur vie. Le bien-être des troupes est l’un des éléments contribuant à la stabilité du pays.
Les échanges entre les FAMa et les soldats de Barkhane sont quotidiens. Les troupes maliennes patrouillent avec les forces spéciales européennes. Elles sont extrêmement précieuses, car en plus de parler la langue des habitants, elles ont une connaissance approfondie du terrain. L’armée est aujourd’hui associée, sous la forme de bataillons mixtes, aux Touareg, ces mêmes Touareg contre lesquels elle s’est battue dans le nord du pays. Beaucoup de soldats se souviennent des massacres de 2012, à Aguelhok, et cette situation est vécue comme une humiliation. Une partie de l’état-major rechigne à partager le territoire avec les Touareg, mais c’est une étape indispensable dans le processus de paix.
Les alliés du Mali fournissent la majeure partie des équipements, y compris les infrastructures. Le 23 juillet 2020, les FAMa ont officiellement pris possession du camp de Labbézanga, construit par un détachement du génie français. La France contribue également à la formation. Les militaires maliens stationnés à Labbézanga ont reçu « des formations relatives à la défense de l’emprise (tenue des postes de garde et du poste d’accueil et de filtrage), au combat, à la relève de blessés sous le feu ainsi qu’à la conduite de patrouilles motorisées et à pied. Les cadres ont également été formés dans les domaines de la topographie, de la tactique et de la planification. » Depuis 2013, la quasi-totalité des troupes maliennes ont suivi la formation militaire dispensée par l’Union européenne (UE). La présence des FAMa à Labbézanga va permettre de contribuer à la relance de l’activité économique, vecteur de stabilité et de paix pour toute la zone.

Une task force pour le Mali

Le 13 janvier 2020, lors du sommet de Pau (France), l’Hexagone et les cinq pays sahéliens ont lancé la Coalition pour le Sahel, qui « vise à faciliter la synchronisation, la coordination et les interactions entre les différents volets de l’action internationale venant en appui des pays du G5 ». Le premier pilier de cette Coalition concerne la lutte contre les groupes armés terroristes. C’est d’ailleurs à Pau qu’a été annoncée la création de la task force Takuba (« sabre », en langue tamasheq), qui a débuté ses activités sur le terrain en juillet.

C’est une force d’intervention tactique qui fait partie intégrante de l’opération Barkhane. Mais elle diffère des quatre autres groupements qui y sont inclus, de par son tissu européen, inédit. En effet, cette task force rassemble au Sahel des unités de forces spéciales européennes (estoniennes, françaises, suédoises et tchèques), qui ont pour mission d’accompagner les Forces armées maliennes (FAMa) dans leurs opérations de lutte contre le terrorisme dans la partie malienne du Liptako-Gourma. C’est une grande réussite pour le chef de l’État français, Emmanuel Macron, qui avait rappelé sa volonté d’« européaniser » la lutte contre le terrorisme au Sahel lors du 6e Sommet du G5S à Nouakchott (Mauritanie), en juin 2020. Pour la Ministre française des Armées, Florence Parly, Takuba est un symbole de « l’engagement croissant des Européens dans la lutte contre le terrorisme au-delà de leurs frontières ». Et pour prouver cet « engagement », cette dernière a fait le déplacement au Mali fin mars, avec ses homologues estonien (Kalle Laanet) et tchèque (Lubomir Metnar). Depuis le lancement de Takuba, les forces européennes ont effectué une vingtaine de missions aux côtés des FAMa. Début février 2021, 150 soldats suédois sont venus grossir les rangs de la task force, afin de soutenir deux groupes déjà en place, à Gao et Ménaka.

Pour la France, Takuba est une manière de partager avec ses alliés européens les responsabilités de la lutte contre le terrorisme dans la bande sahélo-saharienne.

L’internationalisation des opérations devait permettre à Paris d’« ajuster » son effort, comme le précisait en janvier Emmanuel Macron. Alors qu’il promettait le 16 février que les effectifs militaires français au Sahel ne baisseraient pas, il a annoncé le 10 juin la fin prochaine de l’opération Barkhane « en tant qu’opération extérieure ». La poursuite de l’engagement français « ne se fera pas dans un cadre constant », a-t-il précisé. Les tensions s’étaient exacerbées entre la France et le Mali depuis le second coup d’État du 24 mai dernier. Néanmoins, la fin de l’opération Barkhane ne signifie pas la fin de l’engagement militaire de Paris dans la région. Les effectifs militaires français au Mali (actuellement 5 100 soldats) devraient diminuer de moitié d’ici 2023, et trois bases vont vraisemblablement fermer dans le Nord Mali. Qui sera en mesure de remplacer l’armée française, face aux djihadistes ?

G5S : des moyens limités

Le G5S est né le 16 février 2014 à Nouakchott, lors du sommet des chefs d’État du Sahel. Il devait constituer une réponse des pays de la région aux problématiques spécifiques qui les touchent, notamment sur le plan sécuritaire. Il fallut attendre juillet 2017 et le sommet de Bamako pour que soit annoncée la création d’une Force conjointe du G5 Sahel (FC-G5S). Dans un premier temps, elle fut alimentée par un contingent de 5 000 hommes commandé depuis Sévaré (Mali) par le général malien Didier Dacko (depuis juillet 2019, le commandement opérationnel est assuré par le général nigérien Oumarou Namata). Le 29 juin 2018, une attaque détruisit le centre de commandement de la Force, qui depuis a été déplacé à Bamako. Le nouveau centre, construit par la Minusma et financé par l’UE, a été inauguré en juin 2020, confirmant la place de la capitale malienne dans la lutte antiterroriste menée par le G5S.

« Le G5 Sahel est confronté aux problèmes de décaissements et de réponses immédiates à des besoins d’équipements qui sont essentiels », déclarait le Président mauritanien, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, en février 2020 au sommet de Nouakchott. Un an plus tard, le constat est inchangé : lors du dernier sommet du G5S, en février 2021, les États membres de l’organisation sahélienne ont demandé à leurs alliés occidentaux des financements supplémentaires pour renforcer l’autonomisation de leurs armées. L’entrée en fonction de la FC-G5S, et aujourd’hui sa pérennité ont été et restent conditionnées à son financement.

En 2017, l’Allemagne, la Banque africaine de développement, la Banque mondiale, la France, l’UE et le Programme des Nations unies pour le développement ont lancé l’Alliance Sahel, dans le but de trouver des réponses aux problématiques locales. Depuis lors, le Danemark, l’Espagne, l’Italie, le Luxembourg, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont rejoint l’Alliance Sahel. En 2020, elle a soutenu plus de 800 projets pour un montant global de 11,6 milliards d’euros. Mais seuls 400 millions ont été promis pour contribuer au renforcement de la sécurité intérieure des pays du G5S, qui passe notamment par la refonte durable de leurs appareils sécuritaires.

En 2018, 415 millions d’euros avaient été promis par la communauté internationale (dont près d’un quart par l’Arabie saoudite). Mais un an après, à peine la moitié de cette somme avait été déboursée. Sans financement, les forces du G5S ne peuvent être efficaces en opération, et elles peuvent encore moins obtenir un mandat de l’ONU. Elles demandent depuis 2019 à obtenir une mise sous chapitre VII de la Charte des Nations unies, qui permet au Conseil de sécurité de constater « l’existence d’une menace contre la paix, d’une rupture de la paix ou d’un acte d’agression ». Ce cas permettrait à la FC-G5S d’obtenir un financement pérenne. Antonio Guterres, le Secrétaire général des Nations unies, plaide également pour que les opérations de lutte contre le terrorisme diligentées par le G5S obtiennent un mandat du Conseil de sécurité : il l’a rappelé dans un message adressé aux participants au dernier sommet du G5S à Ndjamena. Mais les États-Unis et la Russie, tous deux membres du Conseil de sécurité, y sont opposés.

Les pays membres du G5S ne désarment pas. La FC-G5S a largement amélioré les niveaux de coordination entre les armées nationales et la force Barkhane, grâce à la mise en place du Mécanisme de commandement conjoint (MCC) en mars 2020. Les forces armées des pays du G5S reprennent progressivement l’initiative. Lors du sommet de Ndjamena, le dirigeant tchadien Idriss Déby Itno (qui venait de prendre la présidence de l’organisation sahélienne, et qui est décédé le 20 avril, tué lors d’un combat contre les rebelles) a annoncé qu’il comptait envoyer 1 200 soldats dans la zone « des trois frontières ». Pour Jean-Pierre Lacroix, Secrétaire général adjoint aux opérations de paix pour les Nations unies, « la Force conjointe du G5 Sahel demeure un élément essentiel des réponses sécuritaires pour lutter contre les groupes armés extrémistes dans la région ».

Sommet de Ndjamena
Le Mali au centre des attentions
Le Mali, de par sa position géographique et sa situation politique, occupe une place à part dans le G5S. Lors de la 7e session ordinaire de la Conférence des chefs d’État du G5S, les 15 et 16 février derniers à Ndjamena, une attention particulière a été portée à la situation du pays. « La paix au Mali doit constituer un point majeur de nos préoccupations, ainsi que le développement du G5 Sahel. Nous soutenons les efforts de dialogue politique entre le gouvernement de la transition (…) et les différentes parties pour la mise en œuvre de l’Accord pour la paix et la réconciliation au Mali », a déclaré feu le Président tchadien Idriss Déby Itno.

Mort d’Idriss Déby Itno
Un coup dur pour le G5 Sahel
La nouvelle a sidéré le monde entier. Le Président du Tchad, Idriss Déby Itno, est mort mardi 20 avril à l’âge de 68 ans des suites de blessures reçues le week-end précédent, alors qu’il commandait son armée lors de combats contre des rebelles dans le nord du pays. Au pouvoir depuis 30 ans, il venait d’être réélu pour un 6e mandat. L’un de ses fils, Mahamat Idriss Déby Itno, a été nommé à la tête du gouvernement de transition, pour une période de 18 mois.
C’est un coup dur pour le G5S, dont le Tchad est l’un des piliers. Idriss Déby Itno venait d’en prendre la présidence pour un an. Le 23 avril, juste avant les obsèques du Maréchal Déby, le Président français Emmanuel Macron et ses homologues nigérien, burkinabè, malien et mauritanien ont rendu visite ensemble au général Mahamat Idriss Déby, afin de réaffirmer conjointement que « le G5 Sahel est mobilisé aux côtés du Tchad ».

Crédit photo : © AFP - Frederic Pétry / Hans Lucas

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